Author/Authors :
Guérif، نويسنده , , S. and Jardel، نويسنده , , P. and Berger، نويسنده , , A. and Trousseau، نويسنده , , F. and Boissonnade، نويسنده , , O. and Bensadoun، نويسنده , , R. and Fleury، نويسنده , , V. and Fritel، نويسنده , , X.، نويسنده ,
Abstract :
Objectif
parition des fils d’iridium et la limitation des ressources humaines et matériels ont abouti à l’abandon de la curiethérapie de bas débit de dose et la mise en place d’une unité fonctionnelle de curiethérapie de haut débit de dose. Nous avons rétrospectivement étudié la mise en place d’une curiethérapie de haut débit de dose multifractionnée utérovaginale par iridium 192.
el et méthode
il 2010, une curiethérapie de haut débit de dose utérovaginale multifractionnée de trois jours a été mise en place après une radiothérapie externe de 46 Gy. Les étapes étaient :
plication du ring et tandem avec ou sans aiguilles sous échographie endorectale ;
osimétrie unique tridimensionnelle sur fusion d’une scanographie (pour l’applicateur) et d’une IRM (pour la délinéation) ;
rescription avec augmentation de la dose au point A (4,2 – plus de 5 Gy), l’escalade de la dose délivrée dans 90 % du volume cible anatomoclinique à haut risque (plus qu’au point A) selon l’optimisation manuelle sur la dose équivalente 2 Gy reçue par 2 cm3 du tube digestif (pas plus de 74 Gy), 2 cm3 de la vessie (pas plus de 85 Gy), et de la dose délivrée dans 90 % du volume cible anatomoclinique à risque intermédiaire (60 Gy) ;
de cinq fractions identiques. Mesures répétées, initiales, à 1 mois, annuelles (cliniques, toxicité selon le Radiation Therapy Oncology Group, qualité de vie).
ats
l 2010 à juillet 2013, 78 patients d’âge moyen 59 ans (déviation standard : 16) atteintes de cancer de stade de stade selon la classification des gynécologues accoucheurs (Figo) pour 19 % IB1, 13 % IB2, 10 %IIA, 23 %IIB, 1 % IIIA, 4 % IIIB, ont bénéficié d’une curiethérapie utérovaginale, pour 30 % interstitielle avec six aiguilles en moyenne (déviation standard : 4). La dose délivrée dans 90 % du volume cible anatomoclinique à haut risque moyenne était de 5,8 Gy par fraction (déviation standard : 1,7). Quatre-vingt-dix-neuf pour cent des patientes ont eu cinq fractions de haut débit de dose. Il y a eu 9 % d’échecs. Il y a eu 15 % d’effets secondaires de grade 1, 3,8 % de grade 2, 1,3 % de grade 3 (plasma argon pour rectite, colostomie pour fistule), 3,8 % d’effets urinaires de grade 1, 1,3 % de grade 3 (sténose urétérale), une sténose vaginale et une hémorragie intra-abdominale non chirurgicale.
sions
iethérapie utérovaginale de haut débit de dose multifractionnée a un potentiel curatif prometteur avec des conditions d’hospitalisation simplifiées. Un suivi à long terme est poursuivi pour évaluer le contrôle tumoral et la toxicité et l’impact sur la qualité de vie.