Author/Authors :
Franck Potet، نويسنده , , H. and Gaillot-Petit، نويسنده , , N. and Nguyen، نويسنده , , T. and Guilbert، نويسنده , , P.، نويسنده ,
Abstract :
Objectif
iethérapie du fond vaginal de haut débit de dose est le traitement de clôture des cancers du col et du corps utérin, en complément de la chirurgie et/ou la radiothérapie externe. L’objectif était d’améliorer la couverture du volume cible anatomoclinique en évaluant la dose maximale reçue par les organes à risque.
tes et méthodes
prospective incluant les 34 patientes qui ont eu une curiethérapie de haut débit de dose de novembre 2013 à avril 2014. Les volumes-cibles anatomocliniques de rectum, sigmoïde et vessie ont été délinéés sur le système de planification des traitements (TPS ; Oncentra BrachyPlanning). La dose totale prescrite était de 24 Gy en quatre fractions de 6 Gy hebdomadaires après la chirurgie ou de 10 Gy en deux fractions de 5 Gy hebdomadaires en cas d’irradiation externe préalable, délivrées à 5 mm de la surface de l’applicateur sur sur une longueur de 5 cm, avec des intervalles de positions de source de 5 mm. La dosimétrie a été effectuée sans et avec optimisation manuelle, consistant en l’augmentation de 20 % de la durée de traitement du premier centimètre au contact de la cicatrice vaginale. Les critères de couverture du volume cible anatomoclinique et les doses reçues par 2 cm3 (D2 cm3) des organes à risque ont été comparés par le test de Wilcoxon pour séries appariées.
ats
misation a amélioré la couverture du volume cible anatomoclinique recevant la dose prescrite de 6,2 % (93,7 contre 88,2 % ; p < 0,0001) et augmenté la dose reçue par 90 % du volume cible anatomoclinique de 6,3 % (5,90 contre 5,55 Gy ; p < 0,0001). La D2 cm3 a augmenté de 5,1 % pour le rectum (19,00 contre 18,06 Gy ; p < 0,0001), de 16,3 % pour le sigmoïde (8,28 contre 7,12 Gy ; p < 0,0001) et de 8,2 % pour la vessie (17,19 contre 15,88 Gy ; p < 0,0001).
sion
misation manuelle a amélioré significativement la couverture du volume-cible anatomoclinique au prix d’une augmentation acceptable de la dose maximale aux organes à risque. Le suivi des patientes permettra d’évaluer les taux de récidive locale et la toxicité tardive.