Author/Authors :
Voyant، نويسنده , , C. and Baadj، نويسنده , , A. and Biffi، نويسنده , , K. and Leschi، نويسنده , , D. and Lantieri، نويسنده , , C.، نويسنده ,
Abstract :
RésuméObjectif de l’étude
comparative entre une radiothérapie conformationnelle, considérée comme classique, d’adénocarcinome de prostate et deux techniques d’arcthérapie, une coplanaire et l’autre non-coplanaire.
ts et méthodes
paraison a été faite rétrospectivement chez 30 patients atteints de cancers prostatiques localisés dont les caractéristiques étaient : stade T2 ou T3a, concentration sérique de PSA < 20 ng/ml, score de Gleason < 7. Les critères objectifs de comparaison étaient les normal tissue complication probabilities (NTCP), les equivalent uniform doses (EUD), et les histogrammes dose–volume, et ce pour les volumes de paroi vésicale, paroi rectale, têtes fémorales, intestin grêle, prostate et vésicules séminales. Le schéma thérapeutique était de délivrer 46 Gy dans le PTV1 (volume cible prévisionnel 1, comprenant la prostate, les vésicules séminales et des marges)), puis 30 Gy dans le PTV2 (prostate et marges).
ats
es volumes prostatiques de plus de 75 cm3, l’arcthérapie entraîne une diminution de l’homogénéité au sein du volume cible et une augmentation de la dose reçue par les têtes fémorales, cette méthode ne semble pas appropriée. Pour les volumes de moins de 75 cm3, outre la couverture tumorale quasi-identique et une toxicité radio-induite équivalente pour la vessie et l’intestin grêle, il apparaît une augmentation significative de la dose aux têtes fémorales, le tout restant tout de même dans des limites cliniquement tolérables. L’apport de l’arcthérapie est essentiellement observé au niveau de la dose rectale. La dose reçue par 30 % du rectum est diminuée de 12 % pour l’arcthérapie coplanaire et de 11,7 % pour l’arcthérapie non-coplanaire, et l’EUD de rectum respectivement de 5,2 % et 4,8 %.
sion
ette étude virtuelle, l’arcthérapie semble apporter un réel bénéfice au niveau de la dose rectale. Ces résultats nous incitent à poursuivre les investigations afin de l’intégrer éventuellement dans une dynamique de routine clinique.
se
ative study between a classical conformational prostate radiotherapy (3DRTC) and two arctherapy techniques, a coplanar (AT-C) and the other non-coplanar (AT-NC).
ts and Methods
mparison has been made retrospectively on 30 patients with localized prostate cancer (T2-T3a, PSA < 20 ng/ml, Gleason < 7). The objective criteria for comparison were the NTCP, EUD, and dose volume (on DVH), for the volumes of bladder wall, rectal wall, femoral heads, small bowel, prostate (P) and seminal vesicles (VS). The treatment was 46 Gy on PTV1 (VS + P + margins), and then an overdose of 30 Gy on PTV1 (P + margins).
s
ostate volumes exceeding 75 cm3, arctherapy leads to a decrease in uniformity in the target volume and an increase in the dose received by the femoral heads, this method does not seem appropriate. For prostate volumes less than 75 cm3, in addition to the coverage almost tumor, and radiation toxicity equivalent to the bladder and the small intestine, there is a significant increase in the dose to the femoral heads, while the remaining is still within limits, such as clinically tolerable. The contribution of arctherapy is mainly observed at the level of rectal doses. The dose received by 30% of the rectum is reduced by – 12% for AT-C and – 11.7% for AT-NC, and EUD rectum – 5.2% and – 4.8%.
sion
s virtual study, the arctherapy seems to generate a true dose reduction in the rectum wall. These results encourage us to continue the investigation for a possible integration in a dynamic clinical routine.
Keywords :
AT-C , prostate cancer , AT-NC , EUD , NTCP , Arcthérapie , Arcthérapie coplanaire , Arcthérapie non-coplanaire , Cancer de la prostate , EUD , NTCP , Arctherapy