Title of article :
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Modeling Health Behavior Change: How to Predict
and Modify the Adoption and Ma
Abstract :
Health-compromising behaviors such as physical inactivity and poor dietary
habits are difficult to change. Most social-cognitive theories assume that an
individual’s intention to change is the best direct predictor of actual change.
But people often do not behave in accordance with their intentions. This
discrepancy between intention and behavior is due to several reasons. For
example, unforeseen barriers could emerge, or people might give in to temptations.
Therefore, intention needs to be supplemented by other, more proximal
factors that might compromise or facilitate the translation of intentions into
action. Some of these postintentional factors have been identified, such as
perceived self-efficacy and strategic planning. They help to bridge the intention–
behavior gap. The Health Action Process Approach (HAPA) suggests a
distinction between (a) preintentional motivation processes that lead to a
behavioral intention, and (b) postintentional volition processes that lead to
the actual health behavior. In this article, seven studies are reported that
examine the role of volitional mediators in the initiation and adherence to five
health behaviors: physical exercise, breast self-examination, seat belt use,
dietary behaviors, and dental flossing. The general aim is to examine the
applicability of the HAPA and its universality by replicating it across different
health behaviors, based on various measures, time spans, and samples from
different countries.
Les comportements nuisibles à la santé tels que le manque d’exercice physique
et les mauvaises habitudes alimentaires sont difficiles à modifier. La plupart
des théories socio-cognitives admettent que le meilleur prédicteur d’un réel
changement est l’intention que la personne a de changer. Mais la conduite est
souvent en contradiction avec les intentions. La divergence entre intention et
comportement est due à plusieurs raisons. Par exemple, des obstacles imprévuspeuvent apparaître, ou encore les intéressés peuvent succomber à la tentation.
L’intention doit donc être associée à d’autres facteurs plus immédiats
susceptibles de compromettre ou de faciliter le passage de l’intention à l’action.
Certains de ces facteurs ont été identifiés, à savoir la planification stratégique
et la perception de l’efficacité personnelle. Ils aident à combler le fossé entre
l’intention et le comportement. L’Approche des Processus d’Action en faveur
de la Santé (HAPA) établit une distinction entre les processus motivationnels
préalables à l’intention qui conduisent à une intention comportementale et
les processus volontaires secondaires à l’intention qui débouchent sur un
comportement effectivement favorable à la santé. On expose dans cet article
sept recherches qui examinent le rôle médiateur de la volition dans l’adoption
de et la persévérance dans cinq comportements utiles à la santé: l’exercice
physique, l’inspection personnelle de ses seins, l’usage de la ceinture de sécurité,
un bon régime alimentaire et l’utilisation du fil dentaire. Il s’agit de mettre
à l’épreuve le caractère opérationnel de l’HAPA et son universalité en l’appliquant
à différents comportements liés à la santé à partir de mesures et de périodes
diversifiées sur des échantillons provenant de différents pays.