Title of article :
aTtdtIiMonE foINr VAEpSplTieMdE PNsTychology, 2007
Workaholism as Discretionary Time Investment at
Work: An Experience-Sampling Study
Author/Authors :
Raphael Snir، نويسنده , , Dov Zohar، نويسنده ,
Issue Information :
روزنامه با شماره پیاپی سال 2008
Abstract :
Adopting an operational definition of workaholism as discretionary investment
of considerable time at work, the purpose of the present study was to
test hypotheses regarding the cognitive aspect of workaholism, as well as the
positive and negative/addictive views of this construct. The study employed an
experience-sampling method (ESM), using a sample of 65 full-time employees
who completed the ESM forms at four random times during the day for one
week. Results indicated that workaholism was associated with continued
cognitive engagement with work, accompanied by a preference for work over
leisure activity and higher positive affect during work activity than during
leisure activity. No significant differences were found between workaholics
and non-workaholics with regard to the likelihood of performing work-related
activities during leisure activity, or in the levels of physical discomfort and
negative affect during the weekend. These results highlight the utility of an
operational framework for studying the variety of workaholism correlates.
Theoretical and applied implications are discussed.
A partir d’une définition opérationnelle de l’addiction au travail comme étant
un investissement sans contrôle d’un temps considérable consacré au travail,
cette recherche s’est donné comme objectif de mettre à l’épreuve des hypothèses
relatives à la dimension cognitive de l’addiction au travail, ainsi que les aspects
positifs et négatifs (addictifs) de ce concept. Cette recherche a exploité la
méthode de l’échantillonnage des expériences (ESM) à partir d’un échantillon
composé de 65 salariés à plein-temps qui ont rempli la feuille de recueil des
données quatre fois par jour au hasard pendant une semaine. Les résultats ont
montré que l’addiction au travail était liée à un engagement cognitif permanent
vis-à-vis du travail, associé à une plus forte attirance pour le travail que
pour les loisirs et à un état affectif plus fortement positif lors du travail qu’à
l’occasion des activités de loisirs. On n’a pas trouvé de différences significatives
entre les drogués du travail et les autres en ce qui concerne la probabilité deréaliser des activités relevant du travail pendant les loisirs, ou dans le niveau
d’inconfort physique et le poids des affects négatifs pendant le week-end. Ces
résultats montrent l’utilité d’un schéma opérationnel dans l’étude de la diversité
des phénomènes reliés à l’addiction au travail. Les implications théoriques et
pratiques sont examinées.
Journal title :
Applied psychology an international review
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