Author/Authors :
Sker, Silie نويسنده , , Sniehotta, Falko F. , Araajo-Soares، Vera نويسنده , , Molloy، Gerard J. نويسنده ,
Abstract :
Research has identified moderating variables of the cognition–behaviour
relationship in the Theory of Planned Behaviour (TPB). These include intention
certainty, affective–cognitive congruence of attitudes, attitudinal ambivalence,
and past behaviour. It has not yet been systematically tested if these moderators
apply in similar ways to the prediction of behaviour and behaviour change
(when past behaviour is controlled). A sample of 1,418 university students
completed measures of the direct predictors of the TPB (perceived behavioural
control; PBC and intention), intention certainty, affective–cognitive congruence
of attitudes, attitudinal ambivalence, and the Godin Leisure Time Physical
Exercise Questionnaire at the beginning of the academic year and two months
later. Data were analysed using moderated hierarchical linear regressions.
Without controlling for baseline behaviour, intention certainty and affective–
cognitive congruence moderated both the intention–behaviour and PBC–
behaviour relationships and showed additional main effects. Attitudinal
ambivalence did not contribute to the prediction. When past behaviour was
controlled, the main effects were attenuated and only the intention certainty*
PBC interaction remained significant. Predictors of behaviour do not necessarily
predict behaviour change. The TPB-related moderators studied here
weakly contributed to the prediction of behaviour change. Proposals for
increasing the predictive power of TPB for behaviour change are discussed.Point de départ.
Des recherches ont mis en évidence des variables régulatrices
de la relation cognition-comportement dans la Théorie du Comportement
Planifié (TPB). Celles-ci comprennent la solidité de l’intention, la conduite
passée, l’ambivalence et la congruence affectivo-cognitive des attitudes. On n’a
pas encore systématiquement recherché si ces régulateurs s’appliquaient de la
même façon à la prédiction du comportement et au changement comportemental
(quand le comportement antérieur est contrôlé).
Méthode.
Au début de
l’année universitaire et deux mois plus tard un échantillon de 1,418 étudiants
a fourni des données relatives aux prédicteurs directs du TBP (le contrôle
comportemental perçu, le contrôle du comportement passé et l’intention), à la
solidité de l’intention, à l’ambivalence et à la congruence affectivo-cognitive
des attitudes et répondu au questionnaire de Godin portant sur l’exercice
physique durant le temps de loisir. Les données ont été analysées avec des
régressions linéaires hiérarchiques régulées.
Résultats.
En l’absence de contrôle
du comportement de base, la solidité de l’intention et la congruence affectivocognitive
régulent la relation entre le comportement intentionnel et le comportement
de contrôle de la conduite passée et présentent d’autres effets
importants. L’ambivalence des attitudes ne contribue pas à la prédiction. Quand
la conduite antérieure est contrôlée, les principaux effets sont atténués et seule
l’interaction contrôle du comportement passé—solidité de l’intention reste
significative.
Discussion.
Les prédicteurs du comportement ne prédisent pas à
coup sûr le changement comportemental. Les régulateurs issus du TPB étudiés
ici contribuent faiblement à la prédiction du changement comportemental. On
fait des propositions destinées à accroître le pouvoir prédictif du TPB en ce
qui concerne la modification de la conduite