Author/Authors :
Aleksandra Luszczynska، نويسنده , , Maciej Tryburcy، نويسنده ,
Abstract :
The paper examines the influence of a brief tailored intervention on exercise
levels and self-efficacy beliefs in the context of participants’ health status. We
hypothesised that the effects of a self-efficacy intervention targeting more
frequent exercise would be larger among people with diabetes or cardiovascular
diseases (CVD), compared to the effects of the intervention among individuals
without such diseases. The treatment was tailored to participants’ self-efficacy
and was delivered by e-mail. Data from 187 adults were collected at two
measurement points, with a 6-month follow-up. Participants reported their
exercise frequency and self-efficacy scores, along with several social-cognitive
variables, such as risk perception and intentions. Besides the influence of the
intervention on exercise and self-efficacy, we found that the treatment effects
were moderated by diabetes or CVD: Participants with those illnesses benefited
from the intervention, compared to people without such diagnosis.
Among participants with CVD or diabetes the effects of the intervention on
behavior were mediated by changes in efficacy beliefs. The results indicated
that a parsimonious treatment may contribute to change in exercise over the
longer term, in particular among individuals with a disease related to the
respective behavior. Changes in behavior may be explained by changes in
respective beliefs.
Cet article traite de l’impact d’une brève intervention
ad hoc
sur les croyances
relatives à l’auto-efficience et sur le niveau d’exercice physique auprès de sujets
dont l’état de santé différait. Nous avons fait l’hypothèse que les retombées
d’une intervention sur l’auto-efficience visant à davantage d’activité physique
chez des gens souffrant de diabète ou de maladies cardio-vasculaires (MCV)seraient plus nettes que chez des individus ne présentant pas de tels troubles.
Le traitement a été adapté à l’auto-efficience des participants et communiqué
par courriel. On a réuni des données auprès de 187 adultes en deux fois avec
six mois de délai. Les répondants fournissaient la fréquence de leurs activités
physiques et leur score d’auto-efficience en plus de certaines variables sociocognitives
comme les intentions ou la perception du risque. Outre l’influence
de l’intervention sur l’exercice physique et l’auto-efficience, il apparut que les
effets du traitement étaient régulés par le diabète ou les MVC: en comparaison
des personnes échappant à ces maladies, les sujets en souffrant furent sensibles
à l’intervention. Parmi les diabétiques ou malades MVC, l’impact de l’intervention
sur le comportement dépendait de modifications dans les croyances
sur l’efficience. Les résultats montrent qu’un traitement léger peut contribuer
à faire évoluer le niveau d’exercice physique à long terme, en particulier chez
des individus présentant une maladie en rapport avec ce comportement. Les
changements de conduite peuvent être expliqués par des changements dans les
croyances concernées.