Title of article :
Effects of a Self-Efficacy Intervention on Exercise: The Moderating Role of Diabetes and Cardiovascular Diseases
Author/Authors :
Aleksandra Luszczynska، نويسنده , , Maciej Tryburcy، نويسنده ,
Issue Information :
روزنامه با شماره پیاپی سال 2008
Pages :
16
From page :
644
To page :
659
Abstract :
The paper examines the influence of a brief tailored intervention on exercise levels and self-efficacy beliefs in the context of participants’ health status. We hypothesised that the effects of a self-efficacy intervention targeting more frequent exercise would be larger among people with diabetes or cardiovascular diseases (CVD), compared to the effects of the intervention among individuals without such diseases. The treatment was tailored to participants’ self-efficacy and was delivered by e-mail. Data from 187 adults were collected at two measurement points, with a 6-month follow-up. Participants reported their exercise frequency and self-efficacy scores, along with several social-cognitive variables, such as risk perception and intentions. Besides the influence of the intervention on exercise and self-efficacy, we found that the treatment effects were moderated by diabetes or CVD: Participants with those illnesses benefited from the intervention, compared to people without such diagnosis. Among participants with CVD or diabetes the effects of the intervention on behavior were mediated by changes in efficacy beliefs. The results indicated that a parsimonious treatment may contribute to change in exercise over the longer term, in particular among individuals with a disease related to the respective behavior. Changes in behavior may be explained by changes in respective beliefs. Cet article traite de l’impact d’une brève intervention ad hoc sur les croyances relatives à l’auto-efficience et sur le niveau d’exercice physique auprès de sujets dont l’état de santé différait. Nous avons fait l’hypothèse que les retombées d’une intervention sur l’auto-efficience visant à davantage d’activité physique chez des gens souffrant de diabète ou de maladies cardio-vasculaires (MCV)seraient plus nettes que chez des individus ne présentant pas de tels troubles. Le traitement a été adapté à l’auto-efficience des participants et communiqué par courriel. On a réuni des données auprès de 187 adultes en deux fois avec six mois de délai. Les répondants fournissaient la fréquence de leurs activités physiques et leur score d’auto-efficience en plus de certaines variables sociocognitives comme les intentions ou la perception du risque. Outre l’influence de l’intervention sur l’exercice physique et l’auto-efficience, il apparut que les effets du traitement étaient régulés par le diabète ou les MVC: en comparaison des personnes échappant à ces maladies, les sujets en souffrant furent sensibles à l’intervention. Parmi les diabétiques ou malades MVC, l’impact de l’intervention sur le comportement dépendait de modifications dans les croyances sur l’efficience. Les résultats montrent qu’un traitement léger peut contribuer à faire évoluer le niveau d’exercice physique à long terme, en particulier chez des individus présentant une maladie en rapport avec ce comportement. Les changements de conduite peuvent être expliqués par des changements dans les croyances concernées.
Journal title :
Applied psychology an international review
Serial Year :
2008
Journal title :
Applied psychology an international review
Record number :
834920
Link To Document :
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