Author/Authors :
Ze Minkande, J Hôpital Gynéco-obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé, Cameroun , Ze Minkande, J Université de Yaoundé I - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Cameroun , Bob’Oyono, JM Hôpital Central de Yaoundé, Cameroun , Bob’Oyono, JM Université de Yaoundé I - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Cameroun , Afane Ela, A Hôpital Central de Yaoundé, Cameroun , Afane Ela, A Université de Yaoundé I - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Cameroun , Bengono, R Université de Yaoundé I - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Cameroun , Metogo Mbengono Université de Yaoundé I - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Cameroun , Metogo Ntsama, JA Université de Yaoundé I - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Cameroun , Binam, F Université de Yaoundé I - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Cameroun , Binam, F Hôpital Général de Yaoundé, Cameroun , Sosso, MA Université de Yaoundé I, Cameroun
Abstract :
Le monitorage respiratoire est nécessaire au cours de l’anesthésie car les agents anesthésiques dépriment la ventilation. Il donc faut assurer une suppléance et la surveiller. Le monitorage n’exclut pas la surveillance clinique du patient par un personnel anesthésique présent attentif en salle d’opération. Il est basé sur l’oxymétrie de pouls, la capnographie, les paramètres ventilatoires, les concentrations des gaz anesthésiques et les alarmes.